Excellence
Les montres TAOS sont réalisées par les meilleurs artisans suisses et produites en micro-quantité à Genève.
Des pièces uniques, locales et humaines, fruit du travail d’équipes talentueuses, dévouées à un idéal : offrir une œuvre vivante destinée aux esthètes et collectionneurs avertis d’objets singuliers.
TAOS raconte une histoire intemporelle, célébrant l’artisanat d’exception.
La technologie de pointe comme allié, la dominance des métiers d’art comme tradition à défendre et présenter au monde, TAOS vise à transcender ses acquis, améliorer jour après jour ses techniques de production afin d’obtenir un objet de caractère ; une montre aux contours inégalables, symbole d’élégance pure.
Ouverture
Nous vous ouvrons les portes de notre atelier, situé à Genève, afin de vous présenter l’équipe et ses savoir-faire. Que vous souhaitiez faire partie de la démarche ou celui de simple observateur passionné, vous êtes à nos côtés.
En entrant dans l’univers TAOS, nos clients découvrent la magie de nos processus.
Nous favorisons le partage et les échanges afin de faire rayonner les métiers d’art à travers le monde.
Liberté
Promouvoir, à l’aide d’objets uniques, l’importance de compétences rares est notre mission. Ici, la créativité se manifeste à travers une vision faite d’humilité, travail et développement constant afin de rechercher l’authenticité tout en célébrant la beauté. Libres et autonomes, développées au-delà des carcans et affranchies des notions liées au conformisme, les montres TAOS sont des créations essentiellement artistiques. Nos œuvres représentent une aspiration, une quête de l’absolu qui nous accompagne et anime nos efforts.
Olivier Gaud
CEO
La biographie complèteOlivier Gaud, voit le jour en Suisse en 1985, issu d’un milieu familial où le commerce et l’appréciation des beaux objets ont marqué son éducation. Fils d’un négociant en café et d’une mère antiquaire, Olivier a grandi tout près de Genève, dans un village au bord du lac Léman, profitant d’une scolarité dont la trajectoire académique le conduit à la Haute École de Gestion où il se spécialise dans le trading des matières premières.
Cependant, c’est le monde fascinant des montres qui capturent son cœur dès l’âge de 20 ans. Sa passion pour l’horlogerie se nourrira et s’enrichira par plusieurs rencontres marquantes, dont celle décisive avec Philippe Cantin (ex-collaborateur de Svend Andersen, professeur à l’École d’horlogerie de Genève) qu’il rencontre chez Christie’s. À l’époque, jeune diplômé, il rentre dans la prestigieuse maison de ventes aux enchères à Genève en tant que ‘viewing assistant’ et, par la suite ‘viewingresponsable’ où pendant sept années, il examine des milliers de montres, les ouvre, et participe à la production des catalogues de vente.
Philippe Cantin le pousse à la pratique, et Olivier Gaud passe dès lors toutes ses soirées assis chez lui à son petit établi d’horloger, et tous les mardis soir sous la tutelle de Cantin, réparant et démontant des montres qu’il chine aux puces, en plus d’une formation à l’Ifage. Le jour, il travaille chez Apple à Genève, répare des Macs, et forme les équipes du service après-vente. Il y affine son expertise technique et son approche du service client. De cette époque, il en parle comme le fondement de son apprentissage de cœur et de passion.
En 2016, un tournant familial le conduit à Londres, où il rejoint le service après-vente de la boutique Cartier de New Bond Street. Exigence, rigueur, excellence, il y parfait sa connaissance du service auprès d’une clientèle internationale exigeante. Après deux ans, l’attente d’un heureux événement incite Olivier et son épouse à rentrer à Genève. Grâce à une mobilité interne au sein du groupe Richemont, il intègre Vacheron Constantin au service après-vente international. Là, il gère les réparations des pièces exceptionnelles, de celles qui sont trop compliquées ou trop rares pour être réparées localement dans les marchés, fusionnant ainsi sa formation chez Christie’s avec une vision aiguë du marché collectionneur et secondaire.
Au sein de la manufacture genevoise, il se rend aussi rapidement utile – soulageant le travail des horlogers – en devenant un guide référent grâce à sa connaissance approfondie de l’horlogerie et de ses mécanismes, en plus d’être bilingue, accueillant les visiteurs et clients pour partager la passion de l’horlogerie.
En 2020, Cartier le recrute comme coordinateur du marché suisse, un poste où il doit gérer l’approvisionnement, la visibilité des produits, le merchandising, les évènements pour les 23 points de vente de la marque en Suisse. Et c’est en 2021, à la sortie du Covid, qu’il décide de quitter son poste et de voler de ses propres ailes en créant OLIGO (contraction et surnom d’Olivier Gaud «depuis tout petit»), une marque de montres design, locales et éco-responsables, caractérisées par une touche de magie, notamment avec des aiguilles qui flottent dans l’espace.
OLIGO connait un succès rapide, séduisant par son approche rafraichissante de l’horlogerie suisse, une clientèle internationale de toutes générations. A la même époque, il fait la connaissance de Olivier et Dominique Vaucher. Ensemble, ils commencent à travailler sur certains projets, et imaginent la création d’une marque horlogère indépendante dont le concept est basé sur une créativité libre et la valorisation des métiers d’Art. La trajectoire d’Olivier Gaud, de son enfance sur les bancs de l’école à Genève à la création de sa propre marque, illustre une vie guidée par la passion et un profond respect pour l’artisanat horloger.